Rahonira, ville étape. Elle est située aux portes du Parc de l’Isalo.
Il s’étale là, en face de nous. Immense massif qui s’étend sur 180 km de long
pour 25 km de large. Ce soir, il se pare de ses couleurs dorées au coucher du
soleil. Pour pénétrer dans ce massif, il est nécessaire de prendre un guide du
Parc. Demain, nous partons en randonnée sur la journée pour explorer ce site.
Il faut s’enfoncer et découvrir canyons, piscines naturelles et panorama.
Notre guide s’appelle Olivier. Nous pénétrons dans le massif. Pour la
journée. Chaleur étouffante, soleil de plomb. J’ai l’impression de retrouver des similitudes avec ce que nous avons vécu au Mali dans la région des Dogons. Paysages
similaire avec la falaise de Biandagara où vivent lepeuple Dogon. Comme protégés. Ici, dans le parc d'Isalo, seulement
les massifs de grés mais personne ne vit ici. Les grottes
Nous poursuivons notre randonnée. Vue panoramique sur le massif.
Descendons ensuite dans les canyons pour rejoindre la piscine bleue et noire.
Cascade et piscine naturelle. Etape incontournable
pour se rafraichir et se baigner. Un bonheur ! Ici habite le maki catta. Il est très facile à observer et se laisse approcher sans difficulté. Nous sommes tout près d’eux, à deux mètres ! Ils ont une magnifique queue rayée d’anneaux noirs et blancs.
Au niveau de la flore, on trouve la pervenche de Madagascar. Elle est
très choyée par les biologistes car elle a une substance qui peut permettre de
soigner certaines formes de cancer. Le pied d’éléphant et son petit tronc tout
rond, Pachypodium Rosulatum. pour se rafraichir et se baigner. Un bonheur ! Ici habite le maki catta. Il est très facile à observer et se laisse approcher sans difficulté. Nous sommes tout près d’eux, à deux mètres ! Ils ont une magnifique queue rayée d’anneaux noirs et blancs.
Le lendemain, départ pour Tuléar. La RN 7 traverse une région riche en
gisement de pierres précieuses. Des villages se sont construits à partir de cette
« ruée vers le saphir », Ilakaka et Sakaraha. Ils sont là comme posés au milieu de nulle part. Seulement la
rivière Ilakaka qui coule chargée de « trésors ». L’homme a juste à
œuvrer pour trouver ces fameuses pépites de couleur !
A chaque arrêt du taxi-brousse, c’est une ruade de vendeurs de tout.
Bonbons, gâteaux, maïs chaud,
et autres nourritures. Ici, beaucoup de femmes se parent d’un masque facial. Il est appelé « masonjoany ». Elles râpent les branches de cet arbre qui a le même nom. Cette poudre est ensuite diluée dans de l’eau. Cela donne une pâte qu’elles s’appliquent ensuite. Ce masque sert à se protéger la peau du soleil et des piqûres de moustiques. Il est dénué de tout rituel. C’est un masque de beauté qu’elles portent toute la journée !
Le taxi-brousse redémarre et file vers l’ouest…
et autres nourritures. Ici, beaucoup de femmes se parent d’un masque facial. Il est appelé « masonjoany ». Elles râpent les branches de cet arbre qui a le même nom. Cette poudre est ensuite diluée dans de l’eau. Cela donne une pâte qu’elles s’appliquent ensuite. Ce masque sert à se protéger la peau du soleil et des piqûres de moustiques. Il est dénué de tout rituel. C’est un masque de beauté qu’elles portent toute la journée !